Publications – Editions de l'Ermitage

Chemins d’Apprenti Sage

Journal Compostellan

par Bernhard Hugo

« Ultreïa ! » C’est le mot qui te fait partir et repartir, toi qui avances vers un but chaque jour renouvelé.

De Suisse en Espagne, l’auteur a marché vers Compostelle, nourri à chaque étape du pain quotidien de l’apprenti sage,
tendant sa gourde aux sources limpides des rencontres impromptues et trouvant chaque jour un abri dans la
générosité de paysages infinis et de l’hospitalité du coeur.

Chemins d’Apprenti Sage est une chronique de ce voyage qu’on fait à pied avec, dans sa besace, le viatique spirituel
qui (s’)alimente (de) la marche quotidienne.

Dieu comme l’horizon est sans mesure, comme les champs d’orge. Il est au-delà, mais au plus profond de soi. Comme
sur le Chemin, c’est en partant qu’on se retrouve.

Et qui sait, entre le départ et l’arrivée, au bout de ce Chemin qui transforme celui qui le parcourt, tu auras gagné en
humanité, certainement, voire en sainteté, peut-être même les deux, ta vie en sera témoin. Pars en confiance !

Nu comme le feu

De l’être à l’Être

par Bernhard Hugo

ISBN 978-2-8399-3548-7

Parler de Dieu. Parler de l’essentiel dont notre vie est faite. Parler de notre insignifiance…

Il est peu de sujets où notre humilité nous pousserait davantage au silence. Qu’ajouter aux livres sacrés, aux paroles de sages ou des saints? Les exposés dogmatiques ne manquent pas et les écrits critiques non plus. Plus rares sont les confessions de penseurs sur le cheminement de leur intelligence dans leur adhésion au mystère de l’Être.

Ceci n’est pas un ouvrage de philosophie, ni de religion à proprement parler. Il propose plus des étapes sur un chemin escarpé qu’un système. L’auteur préfère dire que ce sont des réflexions ou, mieux, des méditations autour de notre finitude.

Partant d’une expérience simple, il nous fait partager un itinéraire personnel vers l’Être, nourri par un dialogue réconcilié de la science avec la spiritualité, qui révèle l’intuition fragile d’une flamme qui n’est rien par elle-même et ne brille que par la lumière qui l’a rendue vivante. Tel l’homme: nu comme le feu.